Par André Ourednik, 2004. Source de données: Recensement Fédéral de la Population 1990.
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Taux d'étrangers: |
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Indices de ségrégation spatiale |
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D(adj) : INCONNU | ||||
I de Moran : INCONNU | ||||
Schelling (seuil national): INCONNU | ||||
Schelling (seuil local): INCONNU | ||||
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Auteur: André Ourednik, IGUL, 2004. Source: OFS - Recensement de la population 1990. |
Descriptifs Indices de ségrégation spatiale
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Le nombre d'unités spatiales à Zürich est trop élevé pour permettre le calcul d'indices de ségrégation "spatiaux". Néanmoins, une estimation à l'œil nous laisse supposer un indice d'autocorrélation particulièrement élevé. La population étrangère est clairement concentrée au centre ville et le long d'un axe depuis ce centre vers le Nord-Ouest (le long de l'ancienne zone industrielle de la région du Limmat). Deux autres lieux de concentration peuvent être relevés au nord de la ville. Une telle délimitation zonale et la grande superficie de l'espace habité laisse également supposer des valeurs élevées pour les autres indices "localisés". Pour ce qui est des indices "alocalisés", leurs valeurs sont moins élevées. Les taux d'étrangers présentent une distribution plutôt normale, avec, néanmoins, un clair étalement à droite. Les indices correspondants donnent des valeurs médianes en comparaison de celles des autres villes.
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