Ségrégation spatiale Suisses/étrangers

Basel (Bâle)

Par André Ourednik, 2004. Source de données: Recensement Fédéral de la Population 1990.

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		Taux d'étrangers:
		Seuil de classe:



		Indices de ségrégation spatiale (avec prise en compte de la localisation)
		D(adj) : INCONNU
		I de Moran : INCONNU
		Schelling (seuil national): INCONNU
		Schelling (seuil local): INCONNU

Auteur: André Ourednik, IGUL, 2004. Source: OFS - Recensement de la population 1990.

Fréquences des taux et indices globaux

Descriptifs
Nombre d'unités spatiales: 1370
Min.: 0% d'étrangers
Max.: 100% d'étrangers
Moyenne: 20% d'étrangers
Médiane: 15.3%
Écart-type: 16.8%

Indices de ségrégation spatiale
(sans prise en compte de la localisation)
D: 0.389
Dissymétrie: 1.237 (erreur = 0.066)
Pearson-2: 0.843

Résumé et Analyse

A Bâle, un pattern de ségrégation spatiale est clairement observable. Les unités spatiales à taux d'étrangers élevé sont regroupées dans trois régions majeures. De même, l'histogramme montre un clair étalement à droite.

Le nombre d'unités spatiales est trop élevé pour permettre le calcul d'indices de ségrégation "spatiaux" mais les trois indices " alocalisés " placent la ville parmi les plus ségrégées du pays, particulièrement du point de vue du deuxième estimateur de dissymétrie de Pearson.